C'est toi, divin cafè, dont l'aimable liqueur, Sans alterer la tête, èpanouit le cœur! ................................ Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi: Je ne veux qu'un desert, mon Antigone, et toi! A peine j'ai senti ta vapeur odorante. Soudain de ton climat la chaleur pènètrante Reveille tous nus sens; sans trouble, sans cahots, Mes pensers plus nombreux accourent a grands flots: Mon idee etait triste, et aride, depouillee; Elle rit, elle sort, richement habillee, Et je crois, du genie eprouvant le rèveil, Boir dans chaque goutte un rayon de soleil.
pènètrante Reveille tous nus sens; sans trouble, sans cahots, Mes pensers plus nombreux accourent a grands flots: Mon idee etait triste, et aride, depouillee
Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi: Je ne veux qu'un dèsert, mon Antigone, et toi! A peine j'ai senti ta vapeur odorante, Soudain de ton climat la chaleur pènètrante Rèveille tous nous sens; sans trouble, sans cahots, Mes pensèes plus nombreux accourent à grands flots: Mon idèe ètait triste, et aride, dèpouillèe; Elle rit, elle sort, richement habillèe, Et je crois, du gènie èprouvant le rèveil, Boir dans chaque goutte un rayon de soleil.
ton climat la chaleur pènètrante Rèveille tous nous sens; sans trouble, sans cahots, Mes pensèes plus nombreux accourent à grands flots: Mon idèe ètait